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"On l'appelait Vermicelle" Bande dessinée de Fanny Vella


Hello les P’tits Loups,

 

Nous nous retrouvons aujourd’hui pour vous parler d’une bande dessinée.

« On l’appelait Vermicelle » de Fanny Vella aux éditions Leduc.

 

Cette bande dessinée m’a happé du début à la fin. Le sujet abordé est fort de réalité, lorsque nous sommes un jeune couple. Malgré tout l’amour que nous pouvons nous apporter, certains évènements peuvent chambouler notre vie tranquille.




Par sa plume, l’autrice va traiter les points de la parentalité, les questions que de jeunes parents, futurs parents se posent, que je me suis aussi posé il y plus de vingt ans. J’ai beaucoup aimé sa manière de présenter le chemin que nous parcourons durant les neuf mois de la grossesse, qui, en général, se passent bien, mais on a émis aussi l’éventualité d’une grossesse compliquée, jusqu’à ce que nos enfants deviennent adultes.

 


J’ai retrouvé tous les types de nourrissons, d’enfants, puis adolescents. De l’hyper actif, au bébé qui va naitre avec des sérieux problèmes dès son arrivée qui vont le suivre toute son existence. Les enfants qui sont dans leur monde, les frères et sœurs qui vont cultiver une certaine jalousie pensent qu’ils sont mal aimés, où que leurs parents en favorisent l’un plus que l’autre, les enfants moqueurs.

 

J’ai aussi retrouvé le bienfait, la responsabilisation que peut apporter un animal de compagnie. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce dernier peut énormément aider un enfant à canaliser son énergie, le responsabiliser et l’aider à se sociabiliser.  

 




L’autrice va me démontrer, que par moment, bien que les parents pourraient penser que leurs enfants ne s’aiment pas, on peut totalement se tromper. Le lien fraternel est bien présent, qu’ils s’aiment et se le démontrent sans même que l’on s’en rende compte. Mais aussi que par moment les enfants se sentent mal aimés par leurs parents, par ce qu’ils n’ont pas toutes les cartes en mains. Pour protéger nos enfants, nous ne leurs parlons pas de nos problèmes d’adultes.

Mais les protégeons nous réellement ?

Sont-ils incapables de comprendre ?

 

Viennent les illustrations. Que dire des illustrations de cette bande dessinée ? J’ai beaucoup apprécié les dessins, les mises en scène de l’autrice.  J’aime beaucoup autant son sérieux, que son humour. Par ces dernières, l’autrice a évoqué les incertitudes que peuvent rencontrer les adolescents, par rapport à leur apparence.

 

En quelques mots, voulez vous savoir ce que j’ai pensé de cette BD ?

 

Ma note pour « On l’appelait Vernmicelle » est ⭐⭐⭐⭐⭐/5

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